Pourquoi utiliser un brise vue ?

Par défaut

Les brise-vues sont des éléments indispensables pour garantir la intimité de votre jardin et de votre terrasse. Ils ont également l’avantage d’être faciles à installer et peu coûteux. Découvrez dans cet article les différents types de brise-vues disponibles sur le marché et comment choisir celui qui conviendra le mieux à vos besoins!

Qu’est-ce qu’un brise vue ?

Un brise vue est un élément de jardinage qui sert à masquer une certaine zone du jardin. Il peut être constitué de plusieurs matériaux, comme des lattes de bois, des tiges métalliques ou des tiges en plastique. Les brise-vues peuvent être fixés au sol ou installés sur une structure mobile.

A quoi sert un brise vue ?

Le brise-vue est un élément important du jardin. Il permet de créer des espaces privés et sécurisés, tout en protégeant les plantes et le mobilier de jardin des intempéries. Il peut également servir à délimiter les propriétés et à empêcher les animaux errants d’entrer dans le jardin.

Les différents types de brise vue

Il existe différents types de brise-vue, tels que les brise-vue en tissu, en plastique, en bambou ou en feuilles. Les brise-vue en tissu sont généralement fabriqués à partir de nylon ou de polyester, ce qui les rend résistants aux intempéries et faciles à nettoyer. Les brise-vue en plastique sont également faciles à entretenir, mais peuvent être un peu plus fragiles que les autres types. Les brise-vue en bambou sont esthétiques et peuvent ajouter une touche exotique à votre jardin. Les brise-vue en feuilles sont également populaires et peuvent être facilement trouvés dans les jardineries.

Comment choisir un brise vue ?

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles vous voudriez utiliser un brise-vue. Peut-être que vous voulez cacher quelque chose de laid dans votre jardin, ou peut-être que vous voulez simplement créer une zone privée pour se détendre. Quoi qu’il en soit, il existe différents types de brise-vue et il est important de choisir celui qui convient le mieux à votre situation. Voici quelques conseils pour choisir le brise-vue idéal:

Tout d’abord, déterminez la hauteur dont vous avez besoin. Si vous voulez simplement cacher un objet inesthétique, un brise-vue de 2 mètres suffira peut-être. Mais si vous voulez créer une zone totalement privée, vous aurez besoin d’un brise-vue plus haut.

Ensuite, pensez à l’usage que vous souhaitez en faire. Si vous allez simplement l’utiliser comme écran contre le vent ou non.

Où acheter un brise vue ?

Les brise-vues sont une excellente façon de créer une intimité supplémentaire dans votre jardin ou sur votre balcon. Ils peuvent également être utilisés pour masquer un vis-à-vis peu attrayant ou pour créer un espace de repos et de relaxation à l’abri des regards indiscrets. Si vous souhaitez acheter un brise-vue, il existe de nombreux endroits où vous pourrez en trouver. Les magasins de jardinage et les quincailleries proposent souvent une large sélection de brise-vues, allant des modèles simples aux plus élaborés. Vous pouvez également regarder en ligne, car il existe de nombreux sites Web qui vendent des brise-vues.

cliquez ici pour en savoir plus

Le salon de jardin encastrable : pratique et esthétique pour un petit jardin cocooning

Par défaut

Vous n’avez pas beaucoup d’espace alors que vous souhaitez aménager votre coin jardin avec un salon pour profiter ou pour faire des brunchs avec la famille ou les amis ? Nous avons une solution miracle pour vous, les salons de jardin encastrables, esthétiques, pratiques et non encombrants.

Un salon de jardin pour petite terrasse

Vous voulez donner vie à votre terrasse, mais l’espace est très réduit, ce n’est pas grave ! Optez pour le salon de jardin encastrable. Vous avez des chaises, une table et des poufs aussi si vous voulez. Tout ça pour accueillir vos invités, familles ou amis, pendant les périodes estivales. Et quand vous voulez être en mode « chill » sur votre terrasse, vous pouvez encastrer le tout pour gagner de l’espace.

Comment entretenir son salon de jardin encastrable ?

Le principal entretien des salons de jardin, c’est le nettoyage régulier, car les salons de jardin sont conçus avec des matières dédiées pour l’extérieur comme la résine, l’aluminium ou encore le verre. Un nettoyage avec de l’eau et du savon suffit amplement, c’est juste mieux de faire sécher les meubles après.
Ces matières peuvent faire face aux intempéries, toutefois, il est recommandé de les protéger pendant les saisons rudes pour pouvoir les garder durablement dans le temps.

Comment protéger les salons pendant l’hiver ?

À la base, les matériaux de fabrication des salons de jardin résistent à la neige, vous n’avez pas besoin d’utiliser de produit spécifique pour son entretien.
Par contre, pendant l’hiver, il vaut mieux tout hiberner, tout le monde se met à l’abri et les meubles aussi ! D’autant plus, le salon encastrable ne prend pas beaucoup d’espace, vous pouvez le ranger dans un coin du garage ou dans la cave.

CRÉER SON POTAGER

Par défaut

Entretenir le potager
Enrichir le terrain

Chaque année, les légumes absorbent une grande partie des éléments nutritifs du sol. Tous les ans, les apports d’engrais sont donc indispensables pour reconstituer les réserves et maintenir de belles récoltes.
Il existe deux grandes familles d’engrais : les engrais organiques (issus de la décomposition de matières naturelles) et les engrais chimiques. Le choix de l’un ou l’autre est affaire de philosophie car, employés avec discernement, ces deux types d’engrais seront bénéfiques pour vos légumes. Utilisés avec excès, ils risquent de nuire aux plantes comme aux nappes phréatiques. Les adeptes du bio opteront naturellement pour les produits organiques.
Les engrais apportent aux plantes trois éléments nutritifs majeurs :
– L’azote (symbolisé par N), qui favorise une croissance rapide des tiges et des feuilles. Les engrais riches en azote sont favorables aux légumes dont on consomme les feuilles : choux, salades diverses, oseille… Très soluble dans l’eau, il est très mobile dans le sol. En excès, il fragilise les plantes qui poussent de façon désordonnée. La corne broyée et torréfiée, le guano et le sang desséché contiennent une forte proportion d’azote.
– Le phosphore (P), élément d’harmonie entre le développement des tiges et celui des fleurs et des fruits. Peu soluble dans l’eau, il reste là où vous l’incorporez dans le sol. Tous les légumes en ont besoin. Les cendres et le guano apportent beaucoup de phosphore.
– Le potassium (K), indispensable au bon développement des fruits et des graines. Les légumes produisant des fruits et des graines en sont friands : tomates, aubergines, potirons, courgettes… La cendre de végétaux verts (déchets de jardin brulés) a la particularité de contenir beaucoup de potassium.
Les teneurs de ces trois éléments figurent obligatoirement sur les emballages des engrais chimiques sous la forme d’une succession de trois chiffres : d’abord l’azote, puis le phosphore et enfin le potassium. En revanche, ces indications n’existent pas pour les engrais organiques.
La fertilisation du terrain au potager répond à deux attentes :
– Une amélioration durable identique pour tous les légumes : la fertilisation nécessite alors l’emploi d’engrais dits à libération lente et complets contenant les trois éléments en proportion équilibrées. Ceux-ci sont incorporés au terrain à l’automne.
– Un petit coup de fouet personnalisé suivant les légumes cultivés (enrichissement rapide du sol) avec des engrais immédiatement assimilables par les racines, à appliquer au printemps. Leurs caractéristiques répondent alors aux exigences propres aux espèces cultivées : plus d’azote pour les salades, plus de potassium pour les tomates…

Etape suivante : Installer les plantes
Pour en savoir plus sur l’entretien vous pouvez consulter la fiche de culture de la plante que vous voulez soigner et entretenir sachez que le jardinage est un vrai remède contre la SPASMOPHILIE.

Les rotations des cultures : pourquoi et comment ?

Pour préserver la fertilité de votre jardin potager, ne cultivez pas les mêmes légumes aux mêmes endroits tous les ans. Il faut « faire tourner » les espèces d’une année sur l’autre : on parle de rotation ou de succession des cultures.
Divisez schématiquement la surface de votre jardin potager en trois parties :
– Sur la première, vous apporterez une importante quantité de compost ou de fumier (environ 2 brouettes pour 10m2) chaque automne. Au printemps suivant, elle sera réservée aux légumes les plus gourmands : tomate, courgette, potiron, aubergine, pomme de terre, choux, navet, poireau…
– Sur la deuxième, vous répartirez des légumes moins gourmands : carotte, céleri, fenouil, laitue, chicorée, topinambour… La première année de culture du potager (installation), incorporez une brouette de compost par 10m2 dans cette partie.
– La troisième sera consacrée aux légumes plus sobres : les légumineuses (pois, haricots, fèves), l’ail, l’échalote et l’oignon.
L’année suivante, vous enrichirez la parcelle consacrée aux légumes les plus sobres. Les légumes les moins gourmands occuperont alors la parcelle précédemment réservée aux légumes gourmands. Et ainsi de suite chaque année.
LES BIENFAITS DES ENGRAIS VERTS
entretenir son potagerLes engrais verts sont des plantes que l’on utilise pour enrichir le sol. Semés dans les espaces libérés par les récoltes successives, ils occupent le terrain à la place des mauvaises herbes. Au printemps suivant ou plus tôt en cas de manque de place, ils sont incorporés au sol grâce à un labour, après broyage si nécessaire, à la tondeuse à gazon par exemple. Ces matières végétales se décomposent dans le sol et l’enrichissent.
En outre, certains engrais verts comme les navettes, les colzas ou les moutardes permettent d’aérer le sol en profondeur grâce à leurs racines profondes et très ramifiées.
D’autres, tels que les légumineuses, le lupin, le trèfle blanc ou violet, la vesce ou la luzerne, sont capables d’absorber l’azote de l’air contenu dans le sol et contribuent à un enrichissement supplémentaire en azote (assimilable par les racines), l’aliment de la croissance des feuilles et des tiges.

Que semer, planter et comment entretenir son potager en décembre

Par défaut

Je crois qu’en décembre, l’activité est à son minimum au potager, ce qui n’est pas plus mal pour préparer les fêtes de fin d’année ! Voici quand même quelques petites choses à faire pour les mordus du jardinage qui ne renonceront jamais 🙂

Les semis

  • Carotte : les carottes hâtives pourront être semées sous une bonne protection. Pensez à bien décompacter votre sol avant de semer.
  • Laitue : les variétés supportant l’hiver (comme Appia ou Reine de Mai) pourront elles aussi être semées sous protection
  • Pois : il semblerait que la variété « pois nain Louvette » puisse être semée en décembre. Personellement, je n’ai pas essayé mais dans tous les cas, je la réserverais plutôt pour les régions aux hivers très doux.

Les plantations

  • Ail : A réserver aux régions aux hivers très doux et à condition que le sol ne soit pas gelé. Planter sur butte pour assurer un bon drainage et éviter le pourrissement des caïeux.
  • Arbres et arbustes fruitiers : Les petits fruitiers (cassissier, framboisier, groseillier) et les arbres fruitiers (à pépins et à noyau) peuvent être plantés en décembre à condition qu’il n’y ait pas de trop grosses gelées dans votre région
  • Rhubarbe : Les éclats de souche sont mis en terre à condition que le sol ne soit pas gelé. Il faudra alors pailler généreusement et, lors de gelées annoncées, placer un pot en terre retourné dessus.

L’entretien à apporter aux cultures en place

  • Légumes vivaces : si ce n’est pas déjà fait, dépêchez vous de poser vos dernières protections hivernales sur vos cultures vivaces (exemple pour mes artichauts)
  • Arbres et arbustes fruitiers : continuer la taille amorcée le mois dernier
  • Parcelles inoccupées : ne laissez pas de parcelles nues pendant l’hiver (ma façon de préparer les parcelles pour l’hiver). D’ailleurs, un ebook sortira prochainement combinant les articles de différents bloggeurs sur le sujet ;).

Et vous, que faites vous en décembre au (ou pour le) potager?

Que semer, planter et comment entretenir son potager en octobre ?

Par défaut

On prépare l’hiver au potager tout doucement en octobre. Voici donc un petit guide pour ne rien oublier. Encore une fois il est réduit au strict minimum pour simplifier et alléger la lecture, vous trouverez des informations complémentaires dans les liens vers les fiches légumes notamment si vous le souhaitez (celles qui ne sont pas encore disponibles, le seront prochainement).

Les semis

  • Ansérine Bon Henri : Le semis de cette vivace se fait en place, tous les 20 cm en ligne espacées de 30 cm
  • Chou fleur de printemps : Commencer les semis sous châssis des variétés de printemps pour des récoltes hâtives
  • Chou pommé de printemps : En octobre il faudra finir les semis de choux, en godets ou minimottes, à condition de les garder en intérieur
  • Engrais verts : Semer sur les parcelles fraîchement libérées de leur culture gourmande. Ils succèdent avantageusement aux tomates ou courges par exemple.
  • Fève : Le semis d’octobre est plutôt réservé aux régions à climat doux mais si vous avez beaucoup de graines, tentez le pour obtenir une récolte hâtive.
  • Laitue (d’hiver) : La semer sous châssis, sous cloche ou encore sous tunnel sans quoi elle ne lèvera pas. Elle peut être semée près des fraisiers, des carottes, poireaux, radis…
  • Origan : Un peu sensible au froid , mieux vaut le semer sous une protection en poquets distants de 40 cm

Les plantations

  • Ail, oignon et échalote : Si l’hiver n’est pas trop rude, planter ces bulbes maintenant permet d’avancer les récoltes. Planter sur butte pour assurer un bon drainage et éviter le pourrissement des caïeux (pour des guides détaillés, cliquez sur les liens suivants ; plantation de l’ail, plantation des oignons, plantation des échalotes)
  • Arbustes fruitiers : Les petits fruitiers (cassissier, framboisier, groseillier) trouvent idéalement leur place au potager en octobre. Ils ont ainsi le temps de développer leurs racines avant les grosses gelées et pourront produire (en quantités limitées) dès le printemps prochain.
  • Fraisiers : Octobre est le mois idéal pour planter les fraisiers, profitez-en pour les multiplier si vous avez déjà une variété qui vous convient (et ainsi rajeunir votre fraiseraie) sinon plantez les fraisiers en godets ou à racines nues. Le fraisier étant exigeant, faites le succéder à une culture enrichissante (haricots, pois, …) ou bien un engrais vert semé en juillet-août
  • Hysope : très peu exigeante, cette médicinale peut succéder à n’importe quelle culture et restera en place plusieurs années, profitez en pour la faire succéder à une culture épuisante pour le sol (courges, tomates, choux, …). Planter à 50 cm de distance pour laisser la place de former un petit buisson.
  • Rhubarbe : Commencer à planter les éclats de racines à la fin du mois à condition qu’ils soient entrés en dormance. Eviter de replanter des racines avec des feuilles qui reprendraient difficilement.

L’entretien à apporter aux cultures en place

  • Aromatiques et médicinales vivaces: diviser les souches d’absinthe, d’hysope, de menthe, de ciboulette, d’origan et de sarriette
  • Endive: continuer à forcer en arrachant les endives et en repiquant les chicons en cave après avoir coupé l’ensemble des feuilles (plus d’informations chez Yannick)
  • Poireaux: continuer à butter les poireaux au moins jusqu’à la base des premières feuilles pour favoriser le blanchiment des fûts
  • Choux: continuer à butter les variétés à pommes qui n’ont pas encore été récoltées pour les renforcer

Et vous, que faites vous en octobre au (ou pour le) potager?